☼ Elle est née avec un frère jumeau qui est décédé quand ils avaient 8 ans. Comme il avait toujours été très malade la séparation s'était déjà faite très tôt.

☼ Bien qu'elle soit de nature curieuse et aventureuse , elle n'a que très peu voyager à l'extérieur de l'île. En revanche elle dois pouvoir se vanter de connaître très bien le royaume sur lequel sa famille règne.

☼ Angélique est une jeune fille perspicace et pleine de vie. En général, les gens retiennent son fort caractère et le manque de filtre manifeste qu'elle à. Angélique dis ce qu'elle pense avec une franchise parfois déroutante et pense que tout est bon à dire tant que c'est vrai, qu'elle peu pleurer si elle en à envie ou se mettre en colère si c'est la façon dont elle se sent.

☼ Elle n'est pas pressée de se marier et si elle le fait , elle aimerai que son mari soit la personne qui prend son nom et qui vienne vivre sur ses Terres, elle est très attachée à sa nation , à sa famille et n'entend pas les quitter. Elle ne veux pas quitter le territoire avant que son père ne décède de toutes les façons.

☼ Angélique à beaucoup étudié la politique et l'économie en bonne héritière, mais c'est surtout en musique qu'elle est douée. C'est probablement la seule chose qu'elle a régulièrement partagé avec son père.

☼ Elle à le sens de l'honneur et des responsabilités. Même si elle est généralement capricieuse , elle connaît les limites de ce qu'elle peux demander et connaît la valeur du travail. Elle n'est pas vraiment utopiste et n'a jamais eût un goût marqué pour les études même si elle mène les siennes avec brio, elle le fait pour satisfaire son père. Elle aurait sans doutes préféré être officier dans la Marine , mais ce ne sont pas des choses que sa famille vois d'un bon œil.

☼ Son père avait pour habitude de la couvrir de cadeaux quand elle était jeune avant de comprendre que c'était le monde extérieur qui la faisait rêvé, il à donc permit ses escapades jugeant qu'elles étaient bonnes à sa santé mentale et à sa santé physique. Beaucoup de gens raconte que même si son frère n'était pas décédé elle aurait été celle qu'on favorise puisqu'elle à toujours été la préférée de son père.

En dépit de la pureté de son nom ou de la beauté ma foi, incontestable dont elle avait été bénie, ma mère Colombe était une femme froide, sauvage et je crois pouvoir l'affirmer : incapable d'amour. Comme elle avait toujours détesté mon père pour la simple et bonne raison qu'il était son époux, jurant qu'elle ne l'avait épousé que parce qu'il était de loin le moins pire de tout ceux qu'on lui avait fait rencontrer, personne n'a été surpris lorsque après nous avoir mit au monde mon frère et moi le treizième jour du mois de Chaes de l'an cent-huit de l'âge des Rois, elle à fait annuler leur mariage et à disparu dans la nature. C'était une femme splendide, toute brune avec des yeux d'un bleu roi, ma mère, elle était arrivée de Rosan son pays natal , issue de la Maison Bleuet et plus tard Père nous dirait avec beaucoup d'humour qu'elle n'avait jamais pus se faire au climat de notre île. J'aime à croire qu'elle est aller vivre une autre vie , une qui lui convenait vraiment après son départ.

Mon père ne s'est jamais remarié après son départ. En vérité je ne crois pas qu'il a jamais trouvé cela particulièrement attrayant non plus. C'est un homme de lettres et d'Art. Il à toujours préféré se consacrer à d'autres activités que la conservation de son mariage. Mon frère Abélard et moi avons été placés en nourrice et la vie à seulement repris son cours. Assez rapidement les avis sur la succession se sont mitigés ; Un fils et une fille Abélard était né quelques minutes avant moi ce qui en faisait un successeur tout à attitré mais à la vérité j'ai été favorisée. Mon frère était un garçon fragile, avec une constitution terriblement délicate , enchaînait maladies sur maladie sans que les médecins ne puissent rien faire pour l'aider et peut à peut nous avons été séparés. D'une façon ou d'une autre mon père à commencé à destiner son fils a la religion , quelque chose de plus calme de moins éprouvant , mais le jour de son entrée dans le temple n'est jamais arrivé.

J'ai vécu la mort de mon frère dans la difficulté extrême de comprendre ce que cela impliquait, nous avions huit ans lorsque cela s'est produit, aux termes d'une longue fièvre contractée pendant l'hiver et face à laquelle il n'avait pas sus se défendre ; cela faisait déjà deux ou trois ans que nous avions peu de contacts, puisque j'étais accaparée dans une partie de la demeure par mes études et que lui, de reste ne quittait jamais son lit. La vérité c'est que le manque de lui n'a commencé à se faire sentir que plus tard, des années après que j'ai réalisé la façon dont il avait été important dans ma vie et les nombreux jeux, les nombreux livres que j'aurai aimé partager avec lui. Peut-être que j'avais dix ans ? Mon père ne chercha pas à me consoler , ne chercha pas non plus à expliquer comment les choses s'étaient produite et ne parla pas non plus avec moi de la façon dont il avait été affecté par la mort d'Abélard. Il à refusé de le faire et s'est seulement enfermé dans un mutisme manifeste . Je pense pourtant pouvoir affirmer avec toute la certitude du monde que mon père m'aime. Et je ne parle pas seulement de la façon dont il s'assure que je porte toujours des vêtements de la meilleure qualité ou que je mange toujours les meilleures choses qui puissent, je ne parle pas non plus qu'il à désigné un très bon médecin pour me prêter attention. Je pense qu'en vérité c'est un homme pudique, un peu perdu et profondément blessé par le monde qui l'entoure.

De cette enfance scindée en deux ressort un fait manifeste, entretenu par la façon qu'avaient mes nourrices et mes professeur d'encourager mon fort caractère ; issue d'une branche secondaire, jeune fille devenue héritière par la mort de son frère aînée, fille d'une femme en fuite, en quelques sortes il y avait tout un tas de raison pour que les choses se passent ainsi. Je ne me suis jamais intéressée aux arts martiaux , pas plus qu'il ne l'aurait fallut, cela dit il reste surtout qu'on ne me nommera jamais « Angélique La Douce » . Assez jeune et pour compenser je crois, l'absence d'Abélard j'ai pris l'habitude de fuir la Maison de mon père pour courir dans les rues, dans la jungle aussi avec d'autres enfants, l'on se rendait sur le port pour regarder les bateaux partir vers le continent, revenir aussi. Le bruit de la foule, le bruit des vagues, le bruit de la vie en fait qui manquait terriblement entre les murs qui m'avaient vu naître. Ces escapades n'étaient pas inconnues, ce n'étaient pas des fugues comme je l'entend souvent dire et mon père, pour terminer avait pour habitude d'encourager ces dernière dans la mesure ou les professeurs ne diminuaient pas leurs louanges à mon sujet.

Certaines fois, quand son humeur était bonne et quand des professeurs avaient été particulièrement fiers de moi. Et qu'il n'était pas trop occupés par diverses affaires, il m'emmenait avec lui, nous prenions l'un de ces bateaux qui quittaient Espuma et nous visitions un port de l'autre côté. Nous restions là bas pour la nuit et le lendemain lorsque nous rentrions, je me sentais comme la personne la plus heureuse et la plus importante du monde.

Nous rencontrions souvent les autres membres de la famille, je ne sais pas dire si c'était un plaisir pour mon père, par nature introverti et trop fier pour parler de cela , mais c'étaient des réunions fréquentes, comme il n'existait pas tant d'enfant de mon âge je restait habituellement avec Tula, ma nourrice. Elle passait ces heures là à me faire visiter le château racontant encore et encore l'histoire de cette grande famille et de cette grande généalogie. Mon père, Luther est le cousin germain de Lucius le chef de notre famille et suzerain de notre île, mon sang en vérité n'est plus tant lié à celui des Nox quand j'y réfléchis. Mariage après mariage. Et avec moi peut-être s'éteindra le nom de cette branche.

Naturellement, j'ai été poussée vers l'étude de la politique, de l'économie et toutes ces choses qui feraient de moi une personne digne de succéder à la famille. Père avait pris l'habitude de faire venir sur de longues période dans notre demeure des filles issues d'autres famille Nobles de l'île, des compagnes d'études, plus douces que je ne l'était et se plaisait à voir la façons dont les choses se déroulaient.

Le temps à passé. Peu-à-peu il à effacé les souvenirs que j'avais de mon frère, les dernières images de ma mère et il n'est resté que la mer, la jungle mon père et moi. Pour autant je pense pouvoir dire que j'ai bien vécu. Ce furent de belles années. Un jour bientôt, il sera temps que je me marie, que je quitte ma maison, ma famille et peut-être même que je quitte cette Terre que j'aime tant. Mais ces dix-sept dernières années ont très certainement connu un bonheur intense.